Rencontre, mon roman initiatique
Rencontre est né d’un bouleversement intérieur, d’une expérience si réelle qu’aucun mot ne pouvait, au départ, la contenir.
Je n’ai pas inventé cette histoire : je l’ai vécue, ou plutôt… elle m’a traversé.
J’y raconte l’instant où un homme, perdu entre la raison et le vertige du sens, est confronté à une entité qui dépasse toute compréhension.
Une présence à la fois bienveillante et déstabilisante, qui lui révèle l’existence d’un plan supérieur, d’un équilibre invisible reliant toutes choses. Ce roman n’est pas un récit de science-fiction, ni une fable mystique : c’est une traversée.
Celle d’un être humain confronté à l’origine, à la mémoire et à l’infini.
En écrivant Rencontre, j’ai cherché à mettre en mots l’inexplicable — ce moment où l’esprit cesse de comprendre pour commencer à percevoir. Page après page, j’ai senti que cette histoire parlait moins de moi que de nous : de notre rapport au réel, à la mort, à l’énergie qui nous habite et nous relie. Rencontre est un roman initiatique, une expérience de conscience. Il interroge la frontière entre la vie et l’au-delà, entre le visible et ce qui respire derrière le visible.
En refermant ce livre, j’ai compris que cette rencontre n’était pas un événement isolé, mais un appel — celui de tout être à retrouver son origine, à reconnaître que la lumière, parfois, nous parle à travers les ténèbres.
Au-delà de la résilience, un récit intérieur
J’étais un homme ordinaire, prisonnier d’une insomnie et d’un monde encore intact. Quelques heures plus tard, il n’y avait plus que le silence, la poussière et l’effroi.
Quand les sirènes ont hurlé, je n’ai pas compris tout de suite que c’était la fin d’un monde. J’ai couru, j’ai cherché à sauver ce qu’il restait de sens, de souffle, de foi. L’abri, le froid, la peur, puis la décision : sortir, affronter ce qui restait de la lumière.
Au-delà de la Résilience n’est pas une fiction post-apocalyptique comme les autres. C’est mon récit à la première personne — celui d’un homme confronté à la solitude absolue, au chaos, à la folie et à la nécessité de croire encore.
Ce roman explore la frontière entre la survie physique et la survie spirituelle. Entre la matière et l’esprit, il interroge ce qui, en nous, résiste encore quand tout s’effondre.
Je l’ai écrit comme on respire après l’apnée — dans la douleur, mais aussi dans l’éblouissement de comprendre que, même au cœur du désastre, quelque chose en nous demeure debout.
Ce n’est pas un livre sur la fin, mais sur la persistance du souffle.
Je n’écris pas pour témoigner du désastre, mais pour rappeler que la lumière peut renaître même sous les cendres.